yop yop voici mes poemes : ( vous pouvez aussi les voir sur
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UN METAL SANS NOM
D'un souffle elle hurle son incandescence,
Se tordant de vie et d'amour,
Elle ne peut contenir la chaleur de son être
Qui rayonne, à peine forgé.
Sous les coups du marteau maternel,
Un brouillard orangé s'évapore,
Déchiré par quelques étincelles,
Comme autant de rêves inachevés.
Le monde la martèle.
Elle s'incline, se redresse
Se courbe, et se raidit,
Rougit de nouveau,
Amoureuse du vent qui la caresse.
Elle s'étire lentement
Dans les courbes complexes
Des années et des saisons,
Qui entourent son âme
D'un noir rougeoyant .
Son coeur est d'ébène
Inerte sans le souffle d'antan,
Pour rallumer ses rêves
Et ses passions.
Plongée dans l'eau des mémoires
Sa vie est un métal sans nom,
Que l'on forge d'une main de fer,
Une forme vite oubliée
Sans chaleur ni lumière,
Le souvenir du passé.
ETOILE DE MON COEUR
C'est dans la nuit de mes pensées,
Que ta lumière a su pénétrer
Au fin fond de mon coeur
Pour y effacer tous mes malheurs.
C'est dans mon coeur,
Que ton éclat a rayonné
Pour y déposer la chaleur
De l'amour passionné.
C'est dans l'éclat de tes yeux
Qu'une voie lactée de douceur
Est venue recouvrir mon coeur
D'un désir amoureux.
En moi ton éclat brillera à jamais
Car tu as éclairé mon coeur
De ta lumière chaude et passionnée
Et je ne pourrai l'oublier.
L'ANGE BLEU
Dans la solitude de la nuit
Une voix a surgi
Et d’elle une lumière a jailli
C’était la lumière de la vie
Un arc en ciel de douceur
Tout droit venu du cœur.
Alors je me suis envolé
Pour aller la retrouver dans le ciel étoilé
Car elle est l’ange des couleurs
Qui s’est posé sur mon cœur
Pour m’apprendre à aimer.
L'ECHELLE
Plante un à un,
Les barreaux de ta vie et,
Monte,
Au dessus de tes peurs,
Au dessus de tes pleurs.
Monte,
Au delà de tes joies,
Au delà de tes rêves.
Ne te retourne pas et,
Monte,
Pour toucher la lumière,
De l'oiseau que tu poursuis,
Depuis tes premiers pas.
Monte,
Pour que ce jour là,
Tu retombes tout en bas
De l'échelle de ta vie.
"ELLE"
Elle est comme ce grain de sable,
Cette petite étoile scintillante,
Chariée par des vagues d'espoir,
Et échouée sur une plage de regrets.
PRINCESSE DES RÊVES
Telle une étoile tu éclaires mes rêves
Telle une fleur, tu leur donnes le parfum de l’amour
Tel un papillon de lumière, tu y déposes tes couleurs
Pour que dans mes rêves s’effacent toutes les douleurs
D’une vie qui le plus souvent n’a pas de cœur
Et dans une explosion de bonheur
Tu as fait de mes rêves une réalité
Et de princesse des rêves
Tu es devenue ma princesse adorée.
JE NE SUIS PAS UN POÊTE
Je ne suis pas un poète...
Car au plus profond de leur être,
Les poètes écrivent en syllabes parfaites.
Sans freiner leur entrain,
Ils imaginent de parfaits alexandrins.
J'ai essayé d'escalader le mur invisible,
Qui tel un garde revêtu d'une armure de mots,
Protège le cercle des poètes impassibles.
Mais ce fût pour moi impossible,
Et je suis retombé à mes bas mots.
Je ne suis pas un poète...
Je préfère ma liberté d'écrit,
Que suivre toutes les règles établies.
Loin des esthètes des lettres,
Je préfère m'envoler au gré de mon esprit
Pour oublier au plus profond de mon être,
Que je ne suis pas un poète...
LES POISSONS PLEURENT AUSSI
Nos rivières de macadam
Emportent la vie sans état d'âme.
Les poissons qui vivent dedans
Sont les créatures d'un âge décadent,
Prospectant le moindre appât financier
Dans une parfaite individualité.
Ce sont dans leurs hauteurs abyssales
Que l'on y trouve les plus sales.
Se goinfrant d'algues commerciales,
Ils pourrissent toutes vies sentimentales.
Avant nos océans salés
J'ai vu des poissons pleurer.
Des poissons d'un âge verdoyant
Où la vie mordait à pleines dents
La pomme aujourd'hui pourrie
De l'évolution de la vie.
A force de couler sur leurs écailles colorées
Les larmes se sont transformées en océans salés,
Cachant aux yeux des gens
La tristesse des poissons qui vivent dedans.
Les poissons pleurent tous les jours le matin,
Pour cacher aux humains
La beauté de leur monde préservé
Mais pour encore combien d'années ?
ORANGE SANGUINE
Pressée,
Blessée,
Ecorchée,
Le jus coule
De la pulpe dévoilée,
Le long de la boule orangée.
Pressé,
Stressé,
Epuisé,
Aucune goutte d'humanité
vient à ruisseler,
Le long d'un coeur fatigué.
L'orange sanguine
Pleure d'un long jus sucré,
Les longues années passées,
A récolter les vitamines
Des rayons colorés.
Perché et isolé
En haut de l'arbre de l'absurdité,
Le coeur de notre société
N'arrive plus à pleurer,
Les longues années d'antan,
Où il éprouvait des sentiments.
Ouvrez votre coeur
Aux sentiments extérieurs,
Afin de redonner vigueur
A votre orange intérieure.
L'ARBRE
Humain,
Un baiser fait battre ton cœur,
Humain ,
Ton coup de hache m'arrache le mien.
Humain,
Tes caresses font frissonner les tiens,
Humain,
Tes entailles décapitent les miens.
Humain,
Possèdes tu seulement un cœur ?
Humain,
Humain,
Humain,
Humain,
Humain,
Humain,
Humain,
Humain.
SEULE
Vide, je t'ai laissée.
Dans les profondeurs de ton coeur
Tu m'as pleuré.
Dans une nuit de douleurs
Ton regard s'est détourné,
Pour mieux oublier
Qu'un jour tu m'avais aimé.
SOEUR DE LUMIÈRE
Tu es maintenant lumière,
Toi qui n'a connu que l'obscurité.
Tu illumines la face cachée
De mes peurs les plus primaires
Comme pour y replanter la chaleur
De ton sourire aujourd'hui effacé.
Sans rancoeurs ni douleurs,
Je regarde maintenant vers les étoiles
Pour sentir ton coeur,
Battant au rythme d'un tambour tribal
Le son des souvenirs et des couleurs
Que le temps ne pourra effacer.
Tel un ange gardien
Tu déploies tes ailes de douceur
Pour me protéger du monde extérieur.
De cette chaleur protectrice
Rayonne l'amour et les prémices
D'un sentiment qui fut jadis
La joie et l'innocence
De ma plus tendre enfance.
Petite soeur de lumière
Tu parcours encore et toujours
Le temps passé depuis ce jour
Pour crier à ton frère
Que tu l'aimeras toujours.
Mais il le sait depuis le premier jour.
PUISSANCE DU COEUR
Telle une rose sous la rosée du matin
Mon cœur s’est ouvert au tien
Laissant échapper cette puissance magique
Qui à l’amour s’agrippe
Pour faire jaillir la lumière de la vie
Transformant les douleurs du cœur et les ennuis
En une explosion de fleurs colorées
Faisant du cœur une puissance
Que rien ne peut arrêter.
PYRÈNE
Je navigue sur les rivières vertes
De tes flancs escarpés, à la recherche
De rêves, que j'aurais à tes côtés
Oubliés.
Ton parfum m'enivre de couleurs et d'étoiles,
Comme autant de fleurs posées là sur mon regard
Figé par tant de beauté et d'immensité.
Tes couleurs me chantent l'espérance
D'un monde ici oublié, de paix et de tolérance,
Réfugié au sommet de tes cheveux enneigés.
Je respire la fraîcheur de ton coeur de cendre,
Qui à chacun de mes pas, s'effrite lentement,
Comme autant de larmes de pierres,
Que le cri du vent ne peut arracher à ta peine.
O Pyrène mon amour, ton cœur est de pierre,
Mais ton âme est le reflet émerveillé de tous ceux
Qui ont levé les yeux vers tes sommets,
Et ont compris à quel monde ils appartenaient.
LE TOURNIQUET
Une pensée, des souvenirs,
Un tourniquet, des rêves,
Près de moi tu m'entoure,
Loin du coeur pour toujours.
Je dessine les traits
De ton visage
Effacé par le temps
Ecoulé depuis ce jour,
Où l'on jouait dans la cour de récré.
Un banc, des cris,
Un tourniquet, des pleurs,
Le sommet du grand chêne
Défile au rythme de
Nos éclats de joies.
Un tour de plus, toi et moi,
Je voudrais te retrouver,
Là bas, ou là haut,
Pour t'entourer de mon amour,
Depuis le premier tour...
A PARIS ...
A Paris,
Vit une fleur
Aux parfums de paradis,
Et à la douceur d'une rose.
A Paris,
Vit une fleur
Aux couleurs de l'amour
Et à la tendresse infinie.
A Paris,
Vit une fleur
Que j'aime, un peu, beaucoup, passionnément,
A la folie,
A Paris...
HELOÏSE
Tu fais naître les couleurs
Aux reflets de mes yeux
Tu donnes le sourire
A la mélodie de ma voix
Tu souffles le chaud
Sur mon coeur qui pleure sans toi
Tu chantes à mes rêves
La douceur de l'amour
Tu éclaires mon sourire
Quand je suis avec toi
Tu es mon printemps à moi.
MON COEUR L'ARC-EN-CIEL
Mon coeur est un arc-en-ciel,
Il ne se montre que les jours de pluie.
Lorsque ton regard le traverse,
Chaque couleur est une corde à sa mélodie.
Une note de feu
Qui enflamme ma passion pour toi.
Une note d'émeraude
Quand l'espoir de te revoir résonne en moi.
Une note de ciel
Quand je rêve de nous deux.
Une note de soleil
Quand je regarde tes yeux.
Le silence
Quand je pleure ton absence
AMITIÉ
Le vent du passé
Souffle sur les braises de l'amitié,
Que le temps a éparpillées
Depuis que l'on se connaît.
Les flammes de la passion
Jaillissent de ton coeur,
Impatient de savoir à quelles sensations
Doit battre son dur labeur.
Le feu de tes yeux
A embrassé un jour les miens
Nous regardant heureux
Nous tenir par la main.
Oui nous sommes amis
C'est à toi que j'ai tout dit,
Mes soucis, mes malheurs
Mes douleurs, mes rancoeurs.
Le feu de l'amitié
Brûle en nous à jamais
Et je ne pourrai oublier
Cette chaleur que nous avons partagée.
SIRENE DE L'AMITIÉ
e ne peux te voir ni te toucher
Je ne peux te serrer ou t'embrasser
Je ne peux que t'imaginer
Dans les brumes de ma pensée.
Quand les vagues de l'émotion me submergent
De mon inconscient tu émerges
Telle une sirène des profondeurs bleutées
Tu viens me parler à mes côtés.
Tu nages alors à travers mes pensées
M'accompagnant partout où je vais.
Tu as déposé dans mon coeur une perle sacrée
Une étoile bleutée que représente notre amitié.
J'en suis maintenant le gardien
Au plus profond de mon être
Malheur à ceux qui voudraient qu'elle s'arrête
Petite sirène de mes pensées
J'espère un jour te rencontrer
En attendant ce jour
La perle de notre amitié
Brillera dans mon coeur à jamais.
LAURENE
On ne s'est jamais rencontré...
Et tu m'as pourtant tant apporté.
Tes encouragements et ton sourire invisible,
Ont transformé mes sentiments imprévisibles.
Telle une feuille en automne,
Tu t'es posée sur mon coeur,
Pour l'écouter chanter cette musique
Qui me semblait si monotone.
Tu as su rallumer dans mes yeux
La lumière de la création,
Et celle de mon émotion.
Nous ne nous sommes jamais rencontrés...
Mais au loin, tel un phare, j'ai vu ta passion briller
M'indiquant la vague de la poésie
Sur laquelle je me suis envolé
Sans pouvoir te remercier.
Laurène, belle sirène de l'océan poésie,
Je te dis encore merci.
L'HORIZON NUMERIQUE
J'ai froid, j'ai peur, je pleure,
A bord de mon fidèle navigateur,
Je ne vois que des octets de terreur,
Fissurant la coque de mon être intérieur.
L'horizon numérique me fait mal,
D'un trait invisible dans l'infini spatial,
Il défile au rythme infernal
Du souffle cadencé de l'horloge centrale.
Au milieu des déferlantes numériques,
Je dérive sur cet océan destructeur,
A la recherche d'une terre féerique,
Gardienne de mes rêves intérieurs.
Seul, je n'y crois plus, je suis perdu,
Sur la voûte système, les étoiles ne brillent plus.
Impossible pour moi de m'orienter,
De regagner cette terre tant espérée.
Au loin je regarde les mots pourris qui s'élèvent,
Telle une écume encre de chine
Sur les vagues incessantes des machines
En proie aux marées de l'esprit humain.
J'ai échoué dans tes yeux, ma grande peine,
Tel un naufragé de ton cœur,
Sombrant dans l'épaisse noirceur
D'une marée humaine.
PHOTON SOLITAIRE
Je crie ma lumière d'aimer,
Mais seule l'obscurité de mes murs
Me fait écho.
Je voudrais illuminer des montagnes,
Refléter des lacs,
Effacer l'ombre de tes yeux.
Mais seul,
Je me suis égaré.
J'aimerais ce soir faire briller
Mon amour, tel un grain d'étoile,
Echappé de mes rêves amoureux,
Mais je suis un photon solitaire
Exclu du rayon de lumière,
Pour explorer inlassablement
L'univers que les peines
De ma passion, déchaîne.
EN GARDE !
Du coin de l'oeil,
Ivre d'une larme,
Je la retiens,
Cette dernière arme,
Prête à frapper,
De ma tristesse,
Que cela cesse !
VOILA JE LES AIS TOUS MIS !! DONNEZ MOI VOTRE AVIS ICI OU SUR LE SITE !